Cette année, le circuit en bivouac avait pour décor la partie sud, très sauvage, du parc national des Ecrins, entre Champsaur et Durance : propice au bivouac car peu pourvue en refuges et riche en hauts vallons perdus et autres lieux de solitude.

Et autant dire qu’on n’a pas été gênés par la surfréquentation des lieux ! Lorsqu’au fond d’un un vallon un berger vous dit « ah, mais vous êtes les premiers randonneurs que je vois passer de l’été », on songe qu’il reste encore quelques territoires épargnés (pour l’instant) par les foules, concentrées aux endroits « instagrammables », comme il se doit !

Avec une belle équipe qui, chaque année pour certains, renoue avec le gros sac à dos et les longues étapes, mais aussi avec tous les plaisirs du bivouac en montagne… Merci de m’avoir accompagnée dans ce splendide périple into the wild !